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Un samedi Anthony m’envoya en course chercher ce qu’il fallait pour organiser une petite soirée dans l’appartement avec deux copains de sa promo, ils devaient venir après l’heure du diner pour boire un verre et ensuite ils iraient tous en boite. Je du nettoyer parfaitement l’appartement, préparer les boissons etc.

Cédric et Gaultier arrivèrent en même temps et me tendirent chacun un sac, Anthony tout souriant m’expliqua que c’était leurs sous-vêtements sales de la semaine et que je devrais les laver comme je le faisais pour les siens. Il leur avait donc tous dit sur ma condition d’autant plus qu’ils plaisantèrent souvent au cours de la soirée sur toutes les humiliations que Anthony me faisait subir.

Gaultier se plaignit au cours de la soirée d’avoir beaucoup marché dans la journée et d’avoir mal aux pieds, ce qui n’était pas terrible vu qu’ils voulaient aller en boite. C’est avec un sourire méchant que Anthony demanda à Gaultier s’il voulait que je lui lèche les pieds pour le soulager, bien entendu Gaultier accepta et bien qu’essayant de plaider ma cause, je dû obéir si je ne voulais pas que ma classe voit les vidéos compromettantes. Gaultier était vraiment très laid, il avait un mono-sourcil, un air vicieux, sentait la transpiration et était assez grassouillet.

Il s’assit dans un fauteuil, et mis ses pieds sur une chaise que Anthony avait approché, je me suis mis à genoux devant ses pieds, lui retira ses baskets usées et ses chaussettes trouées. Tout de suite l’odeur me saisit, je n’avais jamais vu des pieds aussi moches, il avait du poil aux orteils et des verrues plantaires sur les talons. Gaultier me demanda de sucer ses orteils dans un premier temps, ensuite je du lécher entre ses orteils, lécher la plante de ses pieds, lécher ses talons, cela dura une bonne heure. C’était vraiment dégueulasse, l’odeur de transpiration était très forte et il ne devait pas se laver souvent. Pendant ce temps Anthony et ses amis buvait des whisky-coca et mangeait des chips en se moquant de moi.

-          Il est mignon comme ça, un vrai petit esclave qui obéit à tout ce qu’on lui demande dit Cédric.

-          Mes pieds vont déjà mieux, dit Gaultier, il doit se régaler avec tout ce que j’ai transpiré.

Je dû ensuite aller chercher une bassine d’eau chaude et du savon pour laver les pieds d’Gaultier avant de les sécher et de lui remettre ses chaussettes et chaussures.

Vers minuit ils décidèrent d’aller en boite, Cédric préféra rentrer chez lui et demanda à Anthony s’il acceptait que je passe la nuit chez lui. Anthony accepta et me fit promettre d’obéir à tout ce que me demanderait Cédric, l’idée de me faire servir un de ses copains le reste de la soirée plutôt que d’avoir du temps libre l’enchantait.

Sur le chemin pour aller chez lui Cédric s’amusa à me faire manger ses crottes de nez et me dit que nous irions nous coucher tout de suite en arrivant car il était fatigué. Il avait un petit appartement avec un seul grand lit. Il dormait nu et voulu que je fasse de même, j’étais un peu gêné de me déshabiller devant lui. Une fois couchés il me demanda de descendre sous les draps et de le sucer. on sexe était plutôt large et était circoncit. Une fois qu’il eut jouit il ne me laissa pas remonter et voulu que je passe toute la nuit sous les draps avec son sexe dans la bouche. Sa bite dégonflait lentement dans ma bouche et suintait du liquide séminal, machinalement je la tétait doucement comme un bébé avec sa sucette et réalisait que cela me détendait et me permit de m’endormir.

Le lendemain matin je me suis réveillé le nez dans les poils pubiens de Cédric avec son sexe ramolli dans la bouche, il avait dû avoir des gaz durant la nuit car il régnait une forte puanteur sous les draps. Cédric dormait toujours et je dû attendre une bonne heure qu’il se réveille et m’autorise enfin à sortir son sexe de ma bouche. Il me dit qu’il avait trouvé cela très agréable et qu’il espérait que je revienne souvent dormir chez lui. Il devait être 10h30 lorsque nous nous sommes levé, nous sommes allé prendre notre petit déjeuner et avons regardé la télé jusqu’à l’heure du déjeuner. Il me fit le sucer une dernière fois et me reconduit chez Anthony et moi.

Une nuit alors que je dormais dans mon lit je me suis réveillé en sursaut, sentant quelque chose sur moi. Anthony vêtu uniquement d’un slip était à genoux sur mon lit, de manière à me bloquer les bras. Le devant de son slip était juste sur mon nez.

-          Mais qu’est-ce que tu fais, tu es cinglé ?

-          Tais-toi, si tu ne veux pas être la risée de tout internet tu dois obéir à tout ce que je te demande, et là je veux que tu me suce.

Il abaissa son slip et je me retrouvais avec son sexe tout contre mon visage, il me força à ouvrir la bouche avec ses doigts et me fourra son sexe en bouche. J’étais horrifié de sentir ce sexe mou sur langue et ne savais pas quoi faire.

-          Si tu veux que ça se termine rapidement et pouvoir te rendormir tu as intérêt à obtempéré, allez suce, me dit-il d’un ton mielleux.

Le nez dans ses poils pubiens j’ai commencé à le tétai et je sentis son sexe grossir peu à peu dans ma bouche jusqu’à devenir tout dur. Je frottais ma langue contre son gland de plus en plus vite ce qu’il avait l’air d’apprécier, conscient que plus je m’appliquait et plus vite cela serait finit. Enfin il donna des coups de reins de plus en plus rapide et déchargeât dans ma bouche. Il ne se retira pas tout de suite et me demanda d’avaler et de nettoyer son sexe avec ma langue sans oublier d’aspirer les dernières goutes. A ma grande surprise le gout n’était pas si dérangeant mais psychologiquement cela me dégoutait.

-          Tu vois que ce n’étais pas si difficile, pour te remercier je vais te faire un petit cadeau moi aussi.

Il se leva et enleva son slip qu’il avait au niveau des genoux, sans que j’eu le temps de réagir il me l’enfila sur la tête. Il m’empêcha de l’enlever et me dit de le garder comme ça toute la nuit, j’avais l’entrejambe juste sur le nez et pouvais sentir l’odeur de sa pisse que je connaissais si bien.

-          Tu n’as rien à dire OK ! Alors tu fermes ta gueule et tu fais ce que je te dis. Dors maintenant.

Sous le choc je me suis mis à pleurer, mouillant le slip de mes larmes, mais réussis quand même à m’endormir.

Au matin je fus réveillé par un flash à travers le slip, Anthony m’enleva son slip du visage et je compris qu’il venait de me prendre en photo.

-          Alors tu as bien dormis dans mon slip ? Allez viens vite à la salle de bain j’ai envie de pisser.

Après m’avoir copieusement arrosé de pisse comme chaque matin, Anthony exigea une nouvelle fellation que je lui ai donné sans protester, sachant que je n’avais pas le choix.

-          Et bien tu vois que tu peux être un bon garçon quand tu veux, tu sais j’ai suffisamment de moyens de pression sur toi pour te contraindre à faire n’importe quoi. Alors ça ne sert à rien de protester, quand je te demande de faire quelque chose, fais le sans que j’ai à insister, ce sera beaucoup mieux pour nous deux. Aller lave-toi, on va être en retard.

Un soir alors que je faisais la vaisselle Anthony m’appela dans la salle de bain d’un ton autoritaire, je le trouva debout à côté des toilettes :

-          Tu te fous de moi ou quoi ? J’ai été chier il y a deux heures, je reviens pour pisser et il y a encore des traces de ma merde. Tu vas me nettoyer ça tout de suite !

Je m’approcha des toilettes et voulue saisir la brosse à chiottes mais il m’en empêcha.

-          Laisse ça, tu vas frotter avec tes mains ça t’apprendra.

Il me saisit par le bras et me força à m’agenouiller devant la cuvette pleine de pisse et de traces brunes. Je savais que je n’avais pas le choix et préférais me salir les mains plutôt que d’avoir une paire de claques. Je me mis à frotter les traces de merde y compris celles sous l’eau pisseuse, ce que j’étais en train de faire m’écœurait. Une fois ma tâche accomplie il me mit la tête dans la cuvette et tira la chasse.

-          Ecoute-moi, si je vois encore la moindre petite saleté dans cette cuvette tu passeras un très mauvais moment. Dès que tu me vois sortir de la salle de bain tu te précipites pour voir s’il n’y a pas besoin de nettoyer, c’est bien clair ?

-          Oui Anthony, dis-je d’un air anéanti.

-          Maintenant laves toi et dès que tu auras fini tu iras jeter la brosse à chiotte dans la poubelle de l’immeuble, tu nettoieras ce chiotte à la main maintenant et gare à toi si je te vois un jour tricher.